A Paris, un mois et demi après la rentrée, les collègues sont épuisés.
Ils ont du mal à respirer ; certains voient mal à cause des lunettes, travaillant derrière un voile de buée ; tous sont obligés d’élever la voix pour mieux se faire comprendre.
Par ailleurs, les élèves masqués ne sont pas plus faciles à entendre ou gérer.
Certains d’entre eux baissent leur masque.
Ce qui ressort : le masque complique les conditions de travail et la communication.