Le SNALC-FGAF avait constaté l’an dernier :
– qu’il n’y avait pas de ligne directrice pour les congés de formation professionnelle
– qu’on favorisait le personnel enseignant qui voulait passer l’agrégation et qu’on laissait de côté les doctorants
– qu’il fallait attendre 8 ans à Paris pour obtenir un congé (en faisant une demande régulière sans interruption)
Cette année, le SNALC demande :
– qu’il y ait clairement des informations données sur le contingent des congés
– qu’on dissocie clairement concours et formation continue, voire reconversion professionnelle
– qu’on puisse moduler l’intitulé du module demandé car en 8 ans on a le temps de changer d’avis
– qu’on puisse aider les doctorants
Enfin le SNALC préconise qu’il y ait une vraie politique rectorale, académique concernant la formation continue : 2 jours par agent dans le second degré, comme c’est noté dans le bilan social.
Il faudrait 30 heures de formation continue (surtout pour la réforme du collège, contre laquelle le SNALC s’insurge), notamment pour prévenir les risques psycho-sociaux et améliorer le dialogue social au sein de l’académie entre personnels d’encadrement et enseignant. Le SNALC a noté qu’il y a de plus en plus de conflits avec la hiérarchie notifiés dans le bilan social.